Cette méthode traditionnelle exprime un rosé sur la pureté du fruit. Noirs et Rouges incarnent une danse froissée d’épices dans un revers floral. La bouche est plaisir, sans prise de tête. Une belle bulle décomplexée pour enjôler la vie tout simplement.

Pinot Noir, Gamay et Grolleau introduisent un univers joliment groseillier, énergique et empreint de fruits bleus et noirs dans une floralité attachante à la fraicheur salivante. Les salades estivales, les planches apéritives tout comme les fromages le sied.

Son univers tendu charme les zestes et les petites baies acidulées du sous-bois avec une floralité tendre et minérale. Sa bouche exprime une jolie tension, avec cette belle fraicheur qui magnifie les poissons et les salades de crustacés comme de crudités.

Meunier, Chardonnay et Pinot Noir s’aventurent dans une expression de fruits rouges et noirs où danse la mandarine dans l’éclat aromatiques des épices douces. On aime sa floralité qui se retrouve également porté par sa fine bulle avant d’embrasser une minéralité salivante en retour pâtissier. Saumon, charcuterie fine, etviande blanche font de beaux accords

Dans cette partition de petits fruits des bois et rouges acidulés, de la framboise écrasée et groseille. Avec la gourmande de la tarte aux fraises en pointe de fleurs. Son joli toucher nous entraine dans une minéralité en tension qui s’amourache des baies forestières avec fraîcheur. On l’adore sur les gambas, tartares de poissons, ainsi que les tartes aux fruits rouges.

Son nez zesté fait chanter les groseilles, les fruits rouges compotés avec un soupir pâtissier relevé de cassis et de mandarine. En bouche, le toucher oscille entre la tension minérale et les petits fruits dans une dimension florale qui swingue dans la minéralité jusqu’en finale. Parfait pour magnifier les spécialités de la Mer et les viandes blanches.

Seul véritable Château propriétaire récoltant de Champagne, ce dernier dévoile un rosé de toute beauté. Cap sur une soupe de fraises groiseillière, aux nuances aussi florales que pâtissières dans un élan minéral. On apprécie sa fine bulle et son toucher portant les baies rouges en majesté dans une douce épice aromatique. De quoi illuminer un homard et les poissons en tartare.

Cette nouvelle marque premium de la Maison Thomas Cheurlin frappe fort avec ce rosé de saignée de la vallée de l’Ource, issu d’une parcelle de Pinot Noir nommée Le Suchot. Son nez oscille entre profondeur et caractère aérien. Une pureté autour du fruit à la floralité aussi savoureuse qu’épicée. Sa fraîcheur nous charme jusqu’en finale. Il fait des merveilles pour accompagner un crabe royale, les viandes blanches comme le veau, ainsi que certains gibiers à plumes comme le pigeon.

À dominance de Pinot Noir du Grand Cru de Verzy, complété de Meunier de la Montagne de Reims et de Chardonnay, ce rosé entre en résonance avec l’esprit de sa réserve perpétuelle. Un bal harmonieux et aérien orchestré autour des fruits des bois avec l’éclat de la mandarine et des fruits jaunes dans un soupir d’épices douces. On aime sa fraîcheur remarquable et sa dimension gastronomique, qui lie à la table, le veau, les coquillages ou encore les crustacés.

Une jolie cuvée est issue des dernières vignes du vignoble historique de Capbreton. Un nez aussi envoûtant que suave qui s’amuse des petites baies et des zestes qui se réhaussent des embruns dans un soupir aromatique floral. La bouche joue la carte de la fraîcheur mais n’est en rien un rosé de plage car oui, sa fine tension à l’énergie raffinée l’embraque en gastronomie de la mer, des coquillages en passant par la gastronomie de l’Asie du Sud-Est

Une approche gourmande et minérale où les zestes embrassent les baies rouges et noires de l’été avec un retour aromatique séducteur. La bouche joue les notes du nez avec la même musique avec une minéralité saline en prime, qui propose de beaux accords autour de la viande blanche, des salades estivales et les crustacés.

Une nez autour de la gourmandise et des fruits qui s’autorise une certaine opulence autour des baies jaunes et rouges et des un caractère groseillier qui embrasse la prune jusque dans sa finale minérale. On l’apprécie à l’apéro après une journée beaucoup de trop, ou encore durant les picnic autour de salades composées de crudités et crevettes.

Ce Rosé d’assemblage Syrah, Cabernet Franc, Marselan et Malbec, s’aventure dans un juteux marqué par les zestes et les fruits jaunes, en pointe de l’exostime d’un litchi miellé qui taquine le longane alors que l’a gourmandise s’installe. Puis vient les zestes, vif et salivant qui embrassent la patine des sols avec cette finale qui sied tant les salades de crudités, la cuisine asiatique et

Une petite valse dans les baie acidulée, les fruits blancs et les prunes qui se perdent dans des nuances aromatiques en soupirs épicés. Sa bouche est onctueuse avec un joli salivant zesté et minéral qui nous suit jusqu’en finale. Un rosé parfait pour le nomadisme et les moments improvisés, à mettre dans un panier de picnic.

Braucol et Duras dévoilent une jolie partition suave et gourmande, où les nuances exotiques s’amourachent des fruits bleus et rouges via le soupir d’une fine épice. La bouche est onctueuse avec une jolie fraîcheur où la tendresse vient nous cueillir par son esprit décomplexé avec l’art de rester raffiné. De quoi passer de bons moments, de l’apéritif aux planches qui vont avec.

Ce joli Gris swingue autour des fleurs et des baies bois énergique dans une épice raffinée. On aime sa texture et sa fraîcheur suave dont la promesse de la table se maintient avec audace. On s’en délecte autour des viandes blanches, les charcuteries, ou encore du saumon.

Cap sur une gourmandise exubérante dont l’art d’invoquer les fruits des bois juteux est palpable, tout comme les fruits exotiques. La bouche dévoile un suave tentateur empreint d’un toucher floral qui fait des merveilles servis très frais autour d’un goûter mature, ou encore des mets salés, et des plats dont le feu du piment doit être canalisé.

Son nez est délicat, tendre, autour des fruits gourmands où le juteux des baies qui éclatent se pare d’une fine élégance épicée et florale. Onctuosité et tendresse dans une tension qui apporte un bel équilibre et embarque ce cabernet chantant en gastronomie. Notamment autour de la cuisine épicée.

Ce vin issu de coteaux alpin nous séduit par ses petites baies raffinées qui se mêlent à une floralité sensible, dans un refrain entêtant et envoûtant. La bouche est onctueuse, presque saline, avec une subtile énergie qui nous suit jusqu’en finale. Viandes blanches, planche apéritives et porc aux baies roses en ressortent magnifiés.

Son nez gourmand et croquant fait virevolter les baies jaunes à noyaux autour de la pêche de vigne et des petits fruits secs, dans une partition enjôleuse. Sa tension minérale se pare d’une floralité suave dans un soupir de baies sauvages sur un lit de praline. On l’aime autour des viandes blanches, des spécialités de fromage et en accord avec une truite.

Cap sur l’un des très jolis coups-de-cœur de cette dégustation. Sa délicatesse florale s’orchestre autour des petites baies. Sa cerise en devient charnelle, simple, authentique et pleine de vérité. La bouche dévoile une trame très tout-terrain, avec un magnifique toucher suave qui sait désarmer. On s’en délecte autour des feuilletés, des viandes blanches et des mets fins truffés.

Cette méthode traditionnelle exprime un rosé sur la pureté du fruit. Noirs et Rouges incarnent une danse froissée d’épices dans un revers floral. La bouche est plaisir, sans prise de tête. Une belle bulle décomplexée pour enjôler la vie tout simplement.

Quel plaisir de découvrir une cuvée pop, lumineuse et positive, qui tient également la route en dégustation! Une immersion dans les zestes et les fruits qui viennent se patiner d’embruns dans un juteux audacieux. Plaisir et décomplexé, il fera des merveilles au cœur de l’été autour d’un apéro dinatoire nomade par sa dimension à s’éprendre de la table.

L’IGP Terres du Midi s’étend sur les paysages variés du Gard, de l’Hérault, de l’Aude et des Pyrénées-Orientales. Ici, l’hédonisme est de mise avec ce « rosé de copains » assumé. Des baies acidulées, une trame minérale zestée, et un esprit rafraîchissant. Que demander de plus?

Cabernet Franc, Merlot, Cabernet Sauvignon et Grenache se parent de l’exception océanique sur Calcaire de cette appellation. On aime son juteux autour des fruits jaunes et rouges quasi-compotés, avec l’éclat de la fraise et de la framboise, les épices et les fleurs. On l’aime autour des viandes blanches, les grillades et les salades estivales. 

Grenache et Mourvèdre nous embarquent dans un nez raffiné, complexe, autour des petites baies et des fruits en retour de nuances exotiques et aromatiques. En bouche, son toucher dévoile un beau potentiel à table dans une fraîcheur énergique. On l’aime en accord autour des viandes blanches, les poissons fins et les crustacés.

François Lurton met en exergue de terroir de basalte de la montagne Noir de Pézenas. Sous aux premiers abords austère, la Syrah, le Grenache et le Mourvèdre, dévoilent dans un univers en tension, où fruits rouges croquants, les aromates et les épices douces virevoltent. La bouche exprime de terroir de son royaume avec panache. On l’aime autour des mets fins, les viandes blanches et les fromages.

Ce vin désalcoolisé de Provence s’offre le luxe de reprendre la patine des rosés classiques avec une typicité très plaisante à retrouver. On aime son caractère zesté, dans lequel les petites baies des bois s’entremêlent avec une dimension qui appelle la table. On pense aux charcuteries, aux viandes blanches ou encore aux moules-frites. Très réussi!. 

Au pied des terroirs du Bandolais, le Grenache, la Syrah et le Rolle s’aventurent dans une expression très plaisir dans lequel on plonge dans le juteux des fruits jaunes avec une dualité très pêche melon qui vient se perdre dans les fruits des bois et les aromates dans un retour de mandarine. On aime son toucher vibrant qui souligne les instants suspendus sans jamais se prendre la tête.

Un beau Bandol rosé que l’on préférera conserver en cave une petite année afin qu’il se magnifie. En attendant, ce dernier se livre déjà autour des fruits juteux, où la nèfle s’amuse de son terroir dans lequel les fruits blancs en exergue s’apprêtent des baies des bois croquantes. On l’aime par sa dimension juteuse et sa minéralité envoutante qui font des merveilles en accord avec l’univers de la mer, des poissons, des St-Jacques ou encore des viandes blanches.

À la Motte-en-Provence, aux portes du merveilleux terroir de Fréjus, Aurélie Bertin dévoile un très beau rosé où le Tibouren, le Mourvèdre, le Grenache et le Cinsault chantent une partition lumineuse, juteuse et onctueuse, où les fruits jaunes du terroir se perdent dans les baies avec éclat, et un soupir minéral suave et salivant qui fait des merveilles autour des poissons, des lasagnes végétarienne, et les bruschettas. . 

Cap sur un grand rosé de gastronomie, raffiné, où les fruits jaunes se patientent de fleurs et d’aromates dans une saisissante approche d’un exotisme zesté à la complexité charnelle. La bouche est envoûtante, minérale, avec une belle énergie qui sied tant les mets fins de la mer, les Saint-Jacques en tartare, ainsi que le caviar acipenser baerii. .

Ce grand rosé de Gastronomie porté par le Tibouren en roi, et structuré de Rolle et de Mourvèdre, vinifié en œuf béton puis en barrique pour apporter une véritable complexité. Son univers gorgé de fruits jaunes compotés qui effleurent la poire et le juteux de la nèfle dans un soupir aromatique vibrant porté par les fleurs. On aime ses fruits sauvages et sa fine épice qui fait des merveilles autour des poissons fins en sauce, le homard comme les mets truffés par sa fraîcheur.